Malgré un état général jugé satisfaisant, un peu moins d’un tiers des entrants en prison cumulent les consommations à risque (alcool, tabac, drogues, psychotropes) et près d’une personne sur dix a besoin d’une prise en charge psychiatrique. Les femmes sont aussi nombreuses que les hommes à consommer des produits toxiques et elles requièrent plus souvent des soins. La situation des mineurs est également préoccupante.