Malgré ces difficultés, plus de huit médecins généralistes sur dix estiment qu’il relève de leur rôle d’adapter leur relation au patient selon sa situation sociale, mais aussi de repérer les patients en situation de vulnérabilité sociale. Plus d’un médecin généraliste sur deux souhaiterait ainsi être mieux formé à la prise en charge de ces patients.
Par ailleurs, ces diffcultés et ces besoins de formation semblent plutôt atténués par l’expérience que peut représenter une plus grande confrontation à la vulnérabilité sociale dans la patientèle.