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Les sortants diplômés de formations sociales de niveau III (équivalent à un bac + 2) ou de niveau IV (équivalent au baccalauréat) sont majoritairement des femmes. Leur insertion professionnelle est plus rapide et plus stable que celle des diplômés de niveau équivalent. Près de 90 % d’entre eux ont trouvé un emploi en moins de trois mois et 40 % ont occupé au moins deux ans un premier emploi.
Cet article vise à étudier l’impact de la régulation de la démographie médicale sur les carrières des médecins généralistes du secteur 1. A partir d’un panel représentatif des omnipraticiens en exercice sur la période 1983-2004, nous mettons en évidence que les conditions d’installation des médecins, qui sont liées au numerus clausus, affectent leurs honoraires de manière durable.
Selon l'enquête sur les consultations et visites des médecins généralistes libéraux menée par la DREES en 2002, près de 80% des consultations donnent lieu à la prescription d'au moins un médicament. Les médecins prescrivent en moyenne 2,9 médicaments par consultation. Le nombre de médicaments prescrits varie selon le diagnostic établi, étant plus élevé en cas de problèmes cardiovasculaires ou de...
L'enquête effectuée en novembre 2000 auprès des bénéficiaires de la CMU confirme qu'ils constituent une population jeune, plutôt féminine, composée en majorité de chômeurs issus des milieux ouvriers et employés. Alors que les bénéficiaires étaient à l'époque composés à 70 % d'« anciens bénéficiaires » de l'AMD et 30 % de « nouveaux bénéficiaires » directs, ces derniers sont 80 % à avoir trouvé les...
Malgré des effectifs en forte augmentation, les médecins généralistes installés au cours de la période 1975-1989 ont pu maintenir un niveau d’honoraires sensiblement équivalent à celui que percevaient leurs aînés lorsqu’ils avaient la même ancienneté. Les générations les plus récentes bénéficient d’une amélioration de leur début de carrière.
