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Dans le contexte de lutte contre l’épidémie de Covid-19, les mesures sanitaires et le confinement ont rapidement généré des difficultés et appréhensions pour les enfants, adolescents et jeunes majeurs protégés, pour les familles suivies et pour les professionnels de l’aide sociale à l’enfance (ASE).
La situation familiale ou sociale difficile vécue par les enfants placés dans les établissements de l’aide sociale à l’enfance (ASE) influe sur leur scolarité. Ces enfants connaissent des situations de déscolarisation, notamment l’année où survient le placement. À 15 ans, ils sont trois fois plus nombreux dans cette situation que les autres adolescents de leur âge. Et en fin de scolarité...
Les sortants diplômés de formations sociales de niveau III (équivalent à un bac + 2) ou de niveau IV (équivalent au baccalauréat) sont majoritairement des femmes. Leur insertion professionnelle est plus rapide et plus stable que celle des diplômés de niveau équivalent. Près de 90 % d’entre eux ont trouvé un emploi en moins de trois mois et 40 % ont occupé au moins deux ans un premier emploi.
Cet article vise à étudier l’impact de la régulation de la démographie médicale sur les carrières des médecins généralistes du secteur 1. A partir d’un panel représentatif des omnipraticiens en exercice sur la période 1983-2004, nous mettons en évidence que les conditions d’installation des médecins, qui sont liées au numerus clausus, affectent leurs honoraires de manière durable.
Malgré des effectifs en forte augmentation, les médecins généralistes installés au cours de la période 1975-1989 ont pu maintenir un niveau d’honoraires sensiblement équivalent à celui que percevaient leurs aînés lorsqu’ils avaient la même ancienneté. Les générations les plus récentes bénéficient d’une amélioration de leur début de carrière.
