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Cette étude porte sur les choix des étudiants à l’issue des épreuves classantes nationales de 2005, qu’elle vise à décrire et à expliquer. L’organisation et la préparation des épreuves, la procédure d’affectation des candidats, le déroulement de l’amphi de garnison y sont analysés afin de décrire le contexte des choix des étudiants. Les déterminants de ces choix sont ensuite présentés.
En 2004, 947 instituts de formation aux professions paramédicales ont formé 108 601 étudiants inscrits dans ces filières. Plus des deux tiers d'entre eux se préparent au métier d'infirmier, et 17 % à celui d'aide-soignant. Les femmes prédominent largement dans toutes les formations, et connaissent de meilleurs taux de réussite au diplôme et moins de redoublements que les hommes.
Ce document de travail donne les résultats redressés de l’exploitation statistique du répertoire Adeli pour les médecins au 1er janvier 2006. La méthode de redressement employée, expliquée en introduction du document tient compte du département d’exercice des médecins et de leur statut (salarié hospitalier et salarié non hospitalier).
D’après les déclarations du personnel hospitalier, il y aurait moins de chefs qu’auparavant et plus de contrôles hiérarchiques. La présente étude analyse les relations de pouvoir dans les établissements de santé, et distingue deux formes d’encadrement : la surveillance et la gouvernance.
Le suivi des trois premières années de carrière des diplômés des professions sociales de l’année 2001 permet d’apprécier leur insertion professionnelle à l’issue de leur formation et de la comparer aux autres diplômés de niveau équivalent. Les diplômés des formations sociales de niveaux III et IV sont majoritairement des femmes et sont relativement plus âgés que les autres diplômés de même niveau.
La DREES a réalisé en 2003 l’enquête « Conditions et organisation du travail dans les établissements de santé », une enquête spécifique aux établissements hospitaliers mais néanmoins largement inspirée des enquêtes de la Dares déjà existantes sur ce thème.
Cette étude s’attache à décrire l’évolution des honoraires des omnipraticiens entre 1983 et 2004, mais surtout à en mesurer et à en expliquer la dispersion.
En 2004, les formations aux professions sociales comptaient plus de 50 000 étudiants. Parmi eux, 23 % se destinent au métier d’éducateur spécialisé, 19 %, à celui d’aide médico-psychologique et 16 % se préparent à devenir assistant de service social.
En collaboration avec le ministère de l’Éducation nationale (Direction de la programmation et du développement), une enquête annuelle est réalisée auprès des écoles de formation aux professions sociales sous tutelle du Ministère de l’Emploi, de la cohésion sociale et du logement et du ministère de la Santé et des solidarités.
La plupart des chirurgiens-dentistes exerce dans un cadre libéral. En 2004, ils ont perçu 79 700 euros de revenu libéral, soit 25 % de plus qu'un médecin omnipraticien, mais 22 % de moins qu'un spécialiste.
