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Cet ouvrage offre un panorama complet des différents dispositifs permettant d’assurer la redistribution en faveur des ménages les plus modestes, mais aussi des conditions de vie et des parcours de ces derniers. L’édition 2025 propose notamment des études sur l’accompagnement, l’insertion, l’emploi et les trajectoires des bénéficiaires de minima sociaux et de la prime d’activité.

Ce dossier apporte un éclairage sur le taux d’encadrement, c’est-à-dire le rapport entre les effectifs du personnel et le nombre de places permanentes, ainsi que sur la répartition des effectifs selon les fonctions exercées.

En 2024, 181 130 élèves ou étudiants sont inscrits dans une formation aux professions de santé non médicales et de sage-femme, un chiffre en hausse par rapport à 2023. Toutefois, le nombre de diplômés reste stable.

En 2024, 57 200 étudiants sont inscrits dans une formation aux professions sociales en France. Le nombre d'inscrits en 1ère année est en baisse tout comme celui des diplômés.

Des tensions de recrutement dans les métiers du social supérieures à celles observées sur l’ensemble des métiers. Cela est particulièrement vrai pour les aides à domicile.

La Drees publie des données issues du volet invalidité de l’Échantillon interrégimes de retraités (EIR) 2020, portant sur les caractéristiques des personnes invalides avec des informations sur l’âge d’entrée en invalidité, la durée passée dans cette situation et le niveau de diplôme.

Au 1er janvier 2025, 74 600 pharmaciens sont en activité, de même que 47 600 chirurgiens-dentistes, 25 800 sages-femmes et 14 400 pédicures-podologues.

Entre début 2012 et début 2025, le nombre de médecins a augmenté de 9,9 %, stimulé par un effectif croissant de médecins diplômés à l’étranger et par l’entrée en activité des générations ayant bénéficié de la hausse du nombre de places en formation (numerus clausus), très forte entre 2000 et 2020.