Résultats de recherche

Cette étude vise à évaluer les conséquences en santé de l’exposition aux produits phytosanitaires des agriculteurs et de leur famille, et à caractériser plus finement un risque diffus qui peut se manifester sur des pathologies rares prises isolément, ou intervenant longtemps après l’exposition.

À partir des enquêtes modes de garde et d’accueil du jeune enfant (MDG) et de l’enquête qualitative Paternage, la Drees a réalisé une série d’études sur la parentalité dans les familles avec jeunes enfants, en s’intéressant particulièrement à l’articulation des vies familiale et professionnelle des parents selon le genre.

Afin d’éclairer le débat public, en particulier dans le contexte de la convention citoyenne sur les temps de l’enfant, la Drees publie une nouvelle étude à partir de l’enquête Modes de garde et d’accueil des jeunes enfants qui examine l’évolution du temps passé par les enfants avec leurs parents depuis vingt ans.

Cette étude examine la répartition de la prise en charge des enfants entre les parents dans les familles où le père et la mère travaillent à temps complet et où tous les enfants sont âgés de moins de 6 ans.

Ces deux nouvelles études examinent de façon complémentaire et inédite la question du temps passé par les enfants avec leurs parents et de la répartition de la prise en charge des enfants.

En 2024, 181 130 élèves ou étudiants sont inscrits dans une formation aux professions de santé non médicales et de sage-femme, un chiffre en hausse par rapport à 2023. Toutefois, le nombre de diplômés reste stable.

En 2024, 57 200 étudiants sont inscrits dans une formation aux professions sociales en France. Le nombre d'inscrits en 1ère année est en baisse tout comme celui des diplômés.

Des tensions de recrutement dans les métiers du social supérieures à celles observées sur l’ensemble des métiers. Cela est particulièrement vrai pour les aides à domicile.

La Drees met à disposition des données sur les interruptions volontaires de grossesse (IVG). Les indicateurs présentés sont calculés à partir des données disponibles sur le portail du Système National des Données de Santé (SNDS), pour les années 2016 à 2024, sans prendre en compte les reprises d’IVG après échec.

En 2024, le taux global de recours à l’interruption de grossesse atteint 17,3 pour femmes âgées de 15 à 49 ans. Il est en hausse par rapport à 2023 (16,8‰). Il augmente à tous les âges mais reste le plus élevé parmi les 25-29 ans (29,8 ‰).